Un matin je suis partie d’Alice Steinbach

Voyages d’une femme indépendante

Premières phrases

Je commence ce livre un matin d’ hiver, assise tranquillement dans ma cuisine. Près de moi, mon vieux chat somnole. Il s’est allongé sur le radiateur qui diffuse sa chaleur en sifflant. La nuit dernière, une tempête de neige d’est abattue sur Baltimore.

Pourquoi ce livre :

C’est l’histoire d’une femme qui plaque tout sur « presque » un coup de tête pour partir à l’aventure, forcement ça me parle ! Ce livre a une petite saveur particulière pour moi car je l’ai trouvé dans les rayonnages de la librairie Transboréal.

Mon avis :

Alice, journaliste américaine de son état, décide de poser des congés presque sur un coup de tête et abandonne le temps de quelques mois, boulots, enfants  grands) et chat pour partir à l’aventure. Chose dont elle ne se pensait pas capable.

Première étape de son voyage : Paris puis des cours à Oxford et l’Italie. Voilà juste les bases de son voyage, elle avisera sur place de la suite.
Alice partira ensuite en Angleterre, puis en Italie.
Si son séjour à Paris m’a enchantée, j’ai été moins séduite par la suite de son aventure.
Ces quelques semaines qu’elle a passées Rive gauche à Paris étaient tellement joliment racontées, magnifiées même, je pense, que l’Angleterre et même l’Italie m’ont paru fades après.
Son voyage est fait de rencontres culturelles et amicales. De visites de musée, de repas partagés à l’improviste…
Mais excepté sa jolie rencontre avec Naohiro, un Japonais rencontré dans un train à Givenchy , les autres personnes qu’elle a croisées m’ont semblé insipides.

J’ai finalement eu du mal à finir ce livre. Alors que les 120 premières pages ont été un vrai coup de cœur, le reste du voyage m’est apparu sans saveur.

Un Matin je suis partie: Voyages d’une femme indépendante – Alice Steinbach – Folio (10 mars 2005) – 368 pages
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